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Nous en savons plus aujourd’hui que jamais sur ce qui est bon pour notre santé.

Ainsi notre alimentation est sous haute surveillance. En théorie si nous écoutons bien les médias, nous savons ce qui nous fait du bien, mais surtout ce qu’il faudrait éviter de manger ou boire pour mourir en bonne santé.

Je ne pense pas que nos aînés se souciaient autant de diététique.

En revanche, ils n’oubliaient pas le plaisir de passer à table ensemble, de bien manger, bien boire et bien s’amuser. Mais où se situe le vrai ? Entre une alimentation très contrôlée et une alimentation insouciante. Doit-on choisir entre contrainte et plaisir ? Et surtout comment peut-on relier les deux ? Où est le juste milieu ?
Nos aînés n’étaient pas soumis à la tentation de produits industriels en abondance et quand ils sortaient au restaurant, ils  n’avaient aucun doute sur la fraîcheur des produits ou la compétence du chef. On ne badinait pas avec une réputation. Les gargotiers ne trompaient pas longtemps leur monde. Faire soi-même et cuisiner frais était, à l’époque, la norme partout dans les foyers, même pour les animaux domestiques.

Cette connaissance s’est parfois perdue. Un maillon de transmission a sauté. Nos habitudes alimentaires ont changé, pour autant ont-elles évolué ?

Je souhaite vous présenter régulièrement mes observations sur ce vaste et passionnant sujet.

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